16 octobre 2006 Chaloupe Saint-Leu : Le curé évoque la fin d’une secte
Thérèse Gens, qui avait fait de sa propriété un lieu de culte pour un groupe de prière annonçant l’apparition de la Vierge, n’est plus. Après son inhumation religieuse jeudi, le curé de la paroisse se réjouit de la réconciliation de l’entourage de la défunte avec l’Église et se félicite du démantèlement d’une “secte”.
“La situation à la Chaloupe est redevenue normale », exposait le père Jeannet devant plusieurs dizaines de fidèles ce dimanche à l’issue de la messe. Le curé de la paroisse Notre-Dame-des-Enfants n’a pas hésité à évoquer « la fin d’un mouvement sectaire ». Non pas parce que Thérèse Gens était décédée, mais parce la cour ayant abrité un lieu de culte parallèle à l’église retrouve peu à peu son aspect d’origine. « Je suis intervenu pour que la famille enlève la fameuse croix Dozulé », dit-il (voir par ailleurs). Croix qui a finalement été déposée il y a plusieurs semaines déjà. La propriétaire des lieux vivait alors ses derniers instants à l’hôpital. Elle s’est éteinte, il y a une dizaine de jours. « À la demande de la majorité des enfants, une cérémonie religieuse a été organisée », salue le père Jeannet. Ce qui suppose que certains proches n’étaient pas d’accord... Quoi qu’il en soit, « cette femme avait droit comme tout le monde à cette célébration », souligne le curé. Un avis que partage entièrement Michel, fils aîné de la famille installé depuis plusieurs années en métropole et toujours opposé aux pratiques de sa défunte mère. « Ma mère était ce qu’elle était, mais elle a bien mérité une petite messe pour son enterrement », dit-il. Thérèse Gens avait défrayé la chronique lorsqu’en début d’année elle avait annoncé « l’apparition prochaine de la Vierge ». La date avait été fixée au 8 février, vers 22 heures « Tout le monde pourra y venir. Ce sera un événement ouvert au grand public », laissait-on entendre dans l’entourage de la vieille dame. “Mais pour ne pas perturber son bon déroulement, les appareils photos et les caméras seront interdits ”
“DIEU MERCI”
En fait, l’avènement était préparé depuis plusieurs mois déjà autour de prières et de célébrations religieuses dans la cour de la petite propriété faisant face à la mairie annexe de la Chaloupe et attirant de plus en plus d’adeptes. L’ampleur prise par ce groupe de prière inquiétait l’Église. Le curé de la paroisse qui pointait du doigt un « mouvement sectaire » avait alors pris les devants et « mis en garde les paroissiens pour qu’ils ne se laissent pas attirer et ne tombent pas dans le piège ». Pour autant, les prières se sont poursuivies. La date de l’apparition de la madone a été repoussée de plusieurs jours. Mais au lieu d’un événement ouvert au grand public comme précédemment évoqué c’est l’annonce d’une apparition privée le 26 mars au soir qui était indiquée. Et si l’avènement s’est réellement produit, seule une poignée de témoins privilégiés aura en tout cas pu admirer la divine scène. Même si elle a poussé un verrou de son vivant et adopté une attitude réprouvée par l’Église, Thérèse Gens, qui n’a jamais cessé de croire en Dieu mais à sa manière, est certainement plus près de la Vierge Marie à présent. Quant à la propriété familiale, elle est en passe de retrouver son visage d’origine, au soulagement d’un grand nombre d’habitants et de la plupart des héritiers Gens eux-mêmes. Et le père Jeannet de conclure : « Dieu merci, tout est rentré dans l’ordre ».
G. L.
UNE CROIX DOZULÉ EN MOINS
La croix Dozulé dominant la propriété a été enlevée. Celle-ci se caractérise par son impressionnante dimension et faisait partie de la quarantaine existant dans l’île. Hautes, bleues et blanches, lumineuses, les croix d’amour, également appelées croix glorieuses sont le plus souvent orientées d’Est en Ouest et sont l’œuvre des « ouvriers de la croix d’amour ». Ces derniers craignent les pires catastrophes pour l’humanité si ces croix ne prolifèrent pas. Une crainte expliquant ainsi une certaine volonté d’en installer le plus possible et de les faire bénir. Mais l’évêché ne l’entend pas de cette oreille et recommande la prudence aux prêtres, tandis qu’une incontrôlable nébuleuse d’associations s’est emparée du message de Dozulé, le lieu des apparitions du Christ à l’origine de l’élévation des croix glorieuses. « À chaque endroit où la croix de 7,38 m sera construite et où sera dite la prière de Dozulé, ce lieu sera protégé de tout cataclysme, cela vient de Jésus », dit ce message de Dozulé qui tend à se répandre à travers l’île... « Seule ma croix d’amour peut faire barrage au mal, arrêter les peuples en guerre, repousser les maladies contagieuses ». Thérèse Gens avait ainsi mis sa cour à disposition pour l’installation de l’une de ces croix. Mais désormais, tout le mystère qui semblait entourer le lieu de culte est dissipé puisque même l’ombrière de plus de trois mètres de hauteur renforçant la clôture pour protéger les fidèles des regards indiscrets a été enlevée. De même que la statue de la Vierge tournée vers la route et dominant le balcon de l’un des deux immeubles auquel avait été accrochée une bruyante cloche. Régulièrement activée avant, pendant et après les cérémonies, cette cloche s’est tue, définitivement. « Tout est nettoyé dans la cour, c’est tant mieux », respire Michel Gens.
Journal de l'Ile de La Réunion http://www.clicanoo.com

La Conferenza dei vescovi svizzeri prende posizione sul fenomeno Dozulé (Francia), luogo nel quale da trent'anni i fedeli si riuniscono al seguito della visionaria Madeleine Aumont.
MESSA A PUNTO SUL FENOMENO "DOZULE"
Vi sono cristiani che da quasi trent’anni si radunano a Dozulé (Francia) per celebrare la croce gloriosa di Gesù Cristo e pregare per la redenzione del mondo, in ossequio al messaggio attribuito a Maria dalla visionaria Madeleine Aumont, ufficialmente non riconosciuto dalla Chiesa cattolica.A seguito di alcune richieste, la Conferenza dei vescovi svizzeri (CVS) desidera sottolineare quanto segue.
Il 24 giugno 1985, Mons. Jean Badré, vescovo di Bayeux e Lisieux (territorio su cui si trova Dozulé), affermò, in virtù del can. 1230 CIC, di non riconoscere come santuario il sito di Dozulé (cf. Documentation Catholique n° 1911, 2.2.1986, pp. 169-170).
Con lettera del 25 ottobre 1985 a Mons. Badré, il cardinale Joseph Ratzinger, Prefetto della Congregazione per la Dottrina della Fede, approvò espressamente la procedura seguita dall’Ordinario di Bayeux e Lisieux e le disposizioni prese in riferimento alla sua responsabilità pastorale, secondo il can. 381 § 1. Il vescovo di Bayeux e Lisieux si riferisce costantemente a questa posizione.
Accanto al lodevole richiamo alla conversione e alla devozione della Croce gloriosa e dell’Eucaristia, gli scritti pubblicati da Dozulé contengono accenti ed esigenze inaccettabili (cf. Dichiarazione di Mons. Badré dell’8 dicembre 1985) : l’esclusività del valore salvifico di ciò che avviene a Dozulé ; il carattere ultimo ed esclusivo del " messaggio " ; l’escatologia dubbiosa ed incongrua ; il fatto di costruire delle croci luminose senza tener conto della sensibilità religiosa dei confinanti e rischiando procedure giudiziarie costose e controproducenti.
D’accordo con il Magistero della Chiesa universale, la CVS si distanzia formalmente dal progetto " Dozulé ". Un certo numero di fedeli sarà forse disorientato da questa messa a punto e stenterà ad accettarla. I vescovi invitano questi fedeli a riassorbire la loro spiritualità e la testimonianza di fede nell’autentico mistero della croce del Salvatore. E’ nei sacramenti e tramite essi che occorre cercare le fonti della nostra conversione e di quella del mondo. In essi e per essi, in seno alla Chiesa, fortifichiamo la nostra speranza nell’attesa del ritorno del Signore.

Friburgo, 14.5.2003+

Amédée Grab OSBPresidente della Conferenza dei vescovi svizzeri
Tratto dal Sito: kath.ch

Lettera di mons. Luigi Bressan - giovedì 4 luglio 2002 ai Sacerdoti e alle Comunità Religiose dell’Arcidiocesi di Trento a proposito di alcune iniziative che rischiano di snaturare il messaggio cristiano –Trento
LETTERA AI SACERDOTI E ALLE COMUNITÀ RELIGIOSE DELL’ARCIDIOCESI DI TRENTO
di Mons. L. Bressan
Cari confratelli nel sacerdozio,
devo ancora attirare la vostra attenzione su alcune iniziative che si presentano come ispirate da buona volontà, ma rischiano di snaturare il vero senso del messaggio cristiano, e si stanno diffondendo anche tra noi.
A) “Croce di Dozulé”: è apparsa in alcuni paesi del Trentino una croce metallica, sempre in forme identiche, luminosa anche di notte. La tradizione di erigere croci è antica e lodevole, anche se la prudenza insegna che la stessa devozione può prendere vie sbagliate. Il tipo di croce sopra ricordato si rifà a presunte “rivelazioni” che sarebbero avvenute a Dozulé, in Francia, tra il 1972 e il 1978. Il Vescovo del luogo (mons. Badré di Bayeux-Lisieux) ha espresso un parere totalmente negativo ancora il 27 aprile 1984, dopo che una commissione aveva esaminato gli “eventi”, proibendo quindi ogni devozione in tal senso. In data del 25 ottobre 1985 il Cardinale J. Ratzinger, a nome della sacra Congregazione per la Dottrina della Fede, ha dato la sua approvazione alle disposizioni del Vescovo. Il successore di mons. Badré ha confermato questa posizione il 15 marzo 1991, dichiarando tra l’altro che “i partigiani della tesi di Dozulé e i suoi diffusori non sono in comunione con la Chiesa”. Nonostante questo, i “testimoni della croce” hanno proseguito, sostenendo di aver ricevuto nuove “rivelazioni” dalla Madonna e dallo stesso Gesù. Anche queste contengono messaggi di catastrofi, di una venuta prossima di Cristo… e la fiducia nella croce di Dozulé! Simili “fenomeni” (visioni apocalittiche, castighi imminenti, mezzi magici o quasi di salvezza) si ritrovano in ogni epoca, e soprattutto nei momenti di crisi sociale, ma essi hanno una spiegazione nella psicologia umana, e non appartengono alla fede cristiana. Penso che sia i fedeli che i sacerdoti che hanno promosso tali croci nel Trentino non fossero al corrente delle disposizioni della Chiesa in merito. Tuttavia, chiedo ora anzitutto che non si proceda oltre e che quanto prima vengano tolte le “croci di Dozulé” esistenti, ed eventualmente sostituite con croci diverse o con altri segni del sacro. Il rispetto dell’ambiente poi propone soluzioni adeguate al nostro territorio. Infine, nessun sacerdote o persona consacrata dovrà prestarsi per incontri di preghiera presso una “croce di Dozulé”. Vanno inoltre respinte le previsioni catastrofiche, più proprie delle sette millenariste che del pensiero cattolico, e le misurazioni della croce che risentono di calcoli cabalistici. Si deve infine distinguere tra la devozione a Maria e quella a Cristo, e far attenzione anche a non confondere la croce con la medesima persona di Gesù. Tale tipo di croce è stata presentata talvolta anche come “la croce del Giubileo”. In realtà essa non ha nulla a che vedere con il Grande Giubileo dell’Anno 2000.
B) Vi sono altri movimenti di “devozione” che la Chiesa non approva e che sono presenti anche tra noi, quali i “Cenacoli Serafici”, conosciuti anche come “Sentieri di misericordia” o di coloro che vanno “a piedi nudi”. Hanno il loro riferimento nazionale nel “Sacro Eremo” di Borgo Grappa (Latina), mentre nel Nord-est a Castagnole di Treviso (dove vi sono pellegrinaggi mensili). Il Vescovo di Treviso ha già manifestato le sue riserve. L’Osservatore Romano ha pubblicato una Notifica ufficiale ancora il 19 maggio 1982, mettendo in guardia i fedeli contro presunte apparizioni, ed aggiungendo tra l’altro che la Signorina Floriana Demarchi, che affermava (e affermerebbe) di aver rivelazioni da Maria, non era “Suora” come si presentava, e Padre Egidio Loi non aveva alcun mandato d’essere assistente ecclesiastico di questi cosiddetti “Cenacoli” (che nel Trentino sarebbero attualmente tre). Non godono appoggio nella Famiglia degli Ordini Francescani, nonostante l’uso dell’aggettivo “Serafico”.
C) Si precisa inoltre che l’Associazione “Lumen Christi- Orprela” non è un’organizzazione riconosciuta dalla Chiesa, benché diretta da un sacerdote. Essa opera anche in campo finanziario con la Fondazione “Abram tra noi”.
D) Per quanto riguarda gli aspetti che si possono assumere da pratiche di preghiera di altre religioni, vorrei richiamare la Lettera Orationis formans della Congregazione per la Dottrina della Fede del 15 ottobre 1989 su “Alcuni aspetti della meditazione cristiana”. Data la delicatezza e complessità del problema, occorrono prudenza e saggezza nell’adottare simili pratiche, e in genere non si possono affrontare senza una preparazione adeguata. E’ sorprendente poi che nemmeno si esamini previamente e si sperimenti la ricchezza dei metodi di preghiera meditativa sviluppati dalla spiritualità occidentale (in sé più consoni alla nostra cultura e sviluppatisi nel cristianesimo) per immergersi invece in esperienze esoteriche.
Vi ho scritto queste Note poiché alcuni di voi hanno espresso il desiderio di conoscere più precisamente il pensiero della Chiesa in merito, ma non mi è parso utile riservare soltanto a loro la risposta.
Con un cordiale augurio di ogni bene per ognuno e in unione di preghiera
+ Luigi Bressan
Trento, 4 Luglio 2002

Mise au point sur le phénomène de « Dozulé » kath.ch
Depuis bientôt 30 ans, des chrétiens se rassemblent à Dozulé (France) pour célébrer la croix glorieuse de Jésus-Christ et pour prier pour la rédemption du monde, obéissant au message attribué à Marie par la visionnaire Madeleine Aumont, qui n’a pas été reconnu officiellement par l’Église catholique.
Suite à quelques demandes, la Conférence des évêques suisses (CES) tient à rappeler ce qui suit :
Le 24 juin 1985, Mgr Jean Badré, évêque de Bayeux et Lisieux (territoire sur lequel se trouve Dozulé), avait déclaré ne pas reconnaître comme sanctuaire le domaine de Dozulé, ceci en vertu du can. 1230 CIC (cf. Documentation Catholique n° 1911, 2.2.1986, pp. 169-170). Par lettre du 25 octobre 1985 à Mgr Badré, le cardinal Joseph Ratzinger, Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, avait expressément approuvé la procédure que l’Ordinaire de Bayeux et Lisieux a suivie ainsi que les dispositions qu’il a prises en faisant référence à sa propre responsabilité pastorale, selon le can. 381 § 1. Cette position est constamment rappelée par l’évêque de Bayeux et Lisieux.
A côté des appels louables à la conversion, à la confiance envers la Croix glorieuse et à la dévotion eucharistique, les écrits publiés par Dozulé contiennent des accents et des exigences inacceptables (cf. Déclaration de Mgr Badré du 8 décembre 1985): la valeur salvatrice de la seule démarche faite à Dozulé ; le caractère ultime et exclusif du « message » ; l’eschatologie douteuse et incongrue ; le fait de bâtir des croix lumineuses sans tenir compte de la sensibilité religieuse des bordiers et au risque de procédures judiciaires coûteuses et contre-productives.
En accord avec le Magistère de l’Église universelle, la CES se distancie formellement du projet « Dozulé ». Un certain nombre de fidèles sera peut-être désorienté par cette décision. Ils auront de la peine à l’accepter. Les évêques les invitent à recentrer toujours plus leur piété et le témoignage de leur foi sur l’authentique mystère de la croix du Sauveur. C’est dans les sacrements et par eux qu’il faut chercher les sources de notre conversion et de celle du monde. C’est en eux et par eux, en Église, que nous fortifions notre espérance dans l’attente du retour du Seigneur.
Fribourg, 14.5.2003
Mgr Amédée Grab OSB
Président de la Conférence des évêques suisses

Klarstellung zum Phänomen „Dozulé“ www.kath.ch
Seit beinahe 30 Jahren versammeln sich Christen in Dozulé (Frankreich), um das glorreiche Kreuz Christi zu verehren und für die Erlösung der Welt zu beten. Sie folgen damit der Botschaft, welche die Seherin Madeleine Aumont Maria zugeschrieben hat, die aber von der katholischen Kirche nicht offiziell anerkannt wurde. Nach verschiedenen Anfragen erinnert die Schweizer Bischofskonferenz (SBK) an Folgendes:
Am 24. Juni 1985 hat Msgr. Jean Badré, Bischof von Bayeux und Lisieux (Diözese, in der sich Dozulé befindet) erklärt, dass er Dozulé bezugnehmend auf Can. 1230 CIC nicht als Heiligtum anerkenne (vgl. Documentation Catholique Nr. 1911, 2.2.1986, S. 169-170). Mit Brief vom 25. Oktober 1985 an Msgr. Badré hat Kardinal Joseph Ratzinger, Präfekt der Kongregation für die Glaubenslehre, explizit das vom Ordinarius von Bayeux und Lisieux eingeleitete Verfahren sowie auch die von ihm getroffenen Massnahmen im Rahmen seiner pastoralen Verantwortung nach Can. 381 § 1 approbiert. Der Bischof von Bayeux und Lisieux erinnert ständig an diese Tatsache.
Neben lobenswerten Aufrufen zur Bekehrung, zum Vertrauen in das glorreiche Kreuz und zur Verehrung der Eucharistie beinhalten die von Dozulé publizierten Schriften unannehmbare Elemente und Forderungen (vgl. Erklärung von Msgr. Badré vom 8. Dezember 1985): die einzig auf Dozulé bezogene Ausschliesslichkeit des Heils; der endgültige und ausschliessliche Charakter der „Botschaft“; die zweifelhafte und unverhältnismässige Lehre vom ewigen Leben; das Aufstellen von leuchtenden Kreuzen ohne Rücksichtsnahme auf die religiöse Sensibilität angrenzender Bewohner und auf das Risiko von kostspieligen und kontraproduktiven gerichtlichen Verfahren.
Im Einverständnis mit dem Lehramt der Universalkirche distanziert sich die SBK formell vom Projekt „Dozulé“. Einige Gläubige werden vielleicht durch diese Klarstellung verunsichert sein und Mühe haben, sie zu akzeptieren. Die Bischöfe laden sie ein, ihre Frömmigkeit und das Zeugnis ihres Glaubens auf das authentische Geheimnis des Kreuzes des Erlösers immer wieder neu auszurichten. In den Sakramenten und durch sie sollen die Quellen unserer Bekehrung und jene der Welt gesucht werden. In ihnen und durch sie bestärken wir unsere Hoffnung in der Kirche auf die Wiederkehr des Herrn.
Freiburg, 14.5.2003
+ Amédée Grab OSB
Präsident der Schweizer Bischofskonferenz

Voici les deux déclarations des deux derniers évêques de Bayeux et Lisieux.

OFFICIEL A PROPOS DES "EVENEMENTS" DE DOZULE

Ordonnance de Monseigneur I'Évêque de Bayeux
Depuis quelques années, des chrétiens se rassemblent à Dozulé, en un lieu appelé "La Haute-Butte", pour célébrer la Croix glorieuse de Jésus-Christ et prier pour la rédemption du monde.
Après avoir constitué le 27 Avril 1984 une commission diocésaine chargée d'enquêter sur les motifs de ces rassemblements à Dozulé et de porter un jugement sur les livres et les cassettes répandus dans le monde entier et relatant les "événements" de Dozulé, Après avoir étudié ses conclusions que je communique au Siège Apostolique, Dans le seul souci d'éclairer les chrétiens, de les aider à demeurer fidèles à l'Eglise et pour "veiller à ce qu'il ne soit pas porté de dommage à la fol ou aux moeurs des fidèles (can. 823 § 1), je promulgue la présente Ordonnance,
Art. I - En vertu des canons 823 et 824 du Code de Droit canonique (1), je réprouve formellement la publication de livres, brochures, prières, cassettes, qui ne portent pas l'approbation d'un Ordinaire.
Art. Il - Je ne reconnais pas comme "sanctuaire", c'est-à-dire comme "lieu sacré où les fidèles se rendent nombreux en pèlerinage, pour un motif particulier de piété, avec l'approbation de l'Ordinaire de lieu (can. 1230), le domaine de "La Haute-Butte" de Dozulé.
Art. III - En conséquence, j'interdis toute propagande et spécialement toute collecte de fonds en vue de la construction d'un sanctuaire ou de l'édification d'une croix gigantesque en ce lieu (can. 1265 § 1) (2). De même, j'interdis l'édification de tout sanctuaire (église, oratoire), calvaire, sur le territoire de la paroisse de Dozulé. (Can. 1215, 1223, 1224) (3).
Art. IV- Restant saufs les droits du curé sur le territoire de la paroisse de Dozulé, j'interdis à tout prêtre :
- d'organiser ou de présider toute réunion en relation avec le "message" de Dozulé;
- de célébrer l'eucharistie dans les mêmes circonstances. Tout prêtre qui, obstinément, enfreindrait les interdictions contenues dans cet article IV, s'expose à être privé dans le diocèse de Bayeux, de la juridiction nécessaire pour entendre les confessions et, éventuellement, d'être frappé de suspense.
Un certain nombre de fidèles seront désorientés par ces décisions. Ils en souffriront et auront de la peine à les accepter. Je les invite, ainsi que tous ceux qui liront cette Ordonnance, à recentrer toujours plus leur piété,
le témoignage de leur fol et leur zèle apostolique, sur le mystère de la
Croix glorieuse du Sauveur. L'Eglise nous y invite, spécialement pendant la Semaine Sainte. Dans le même sens, le Saint-Père nous a demandé à tous de redécouvrir les bienfaits des sacrements de la Réconciliation et de l'Eucharistie.
C'est en eux et par eux, qu'il faut chercher les sources de notre conversion et de celle du monde; c'est en eux et par eux, dans l'Eglise, qu'il faut fortifier notre espérance dans l'attente du Retour du Seigneur. Cette présente Ordonnance sera publiée lorsque le Siège Apostolique aura fait connaître son opinion sur les "événements" de Dozulé, au vu de l'enquête faite par la Commission diocésaine et qui lui a été transmise intégralement.    

A Bayeux, le 24 Juin 1985.      + Jean Badré,
    Evêque de Bayeux et Lisieux. 
    Par mandement:     E. Belin, Chancelier de l'Evêché.

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DOZULE 1991: RIEN DE NOUVEAU... "LE PIEGE A GOGOS!"
NON AUX PRESSIONS - NON A L'AMALGAME - NON AU PSEUDO-MESSAGE

Nombre de chrétiens de bonne volonté, de bon sens et de bonnes dispositions s'inquiètent, à bon droit, des pressions exercées par les messagers de la cause de Dozulé. Ils écrivent et demandent des clarifications.
Personne n'a aucun mandat de diffusion et ne peut se prévaloir de l'avoir reçu de l'Evêque de Bayeux et de Lisieux. Monseigneur BADRE a établi un document sous la forme d'une Ordonnance en 1985, prolongée par sa Déclaration du 8 décembre de la même année. Je vous demande de vous y référer et de vous y conformer. Ces documents constituent la réponse de l'Eglise et établissent sa position. Les termes retenus en 1985 valent pour 1991 et les années à venir. Ces pressions déplacées, extravagantes et fanatiques développent une attitude sectaire incompatible absolument avec celle dont doivent se réclamer les fidèles de l'Eglise catholique. Les partisans de la thèse de Dozulé et ses diffuseurs ne sont pas en communion avec l'Eglise.
Dans le souci d'éclairer les chrétiens, je demande aux fidèles de l'Eglise catholique de ne pas se laisser intoxiquer par la propagande sans fondement sur ce phénomène. En outre, le domaine de la Haute Butte ne doit, en aucun cas, être considéré comme un lieu sacré approuvé par l'Ordinaire de ce diocèse. Je maintiens les dispositions de l'Ordonnance du 24 juin, établie par Mgr Jean BADRE, mon prédécesseur, ainsi que les termes de sa Déclaration du 8 décembre 1985.
J'interdis donc à tout prêtre d'organiser, d'accompagner et à plus forte raison de présider toute réunion en relation avec ce pseudo-message de Dozulé et de participer à des rassemblements sur la Haute Butte.
J'interdis également à tout prêtre de célébrer l'Eucharistie sur la Haute Butte, notamment le 28 mars 1991, et de célébrer dans le cadre explicite d'un pèlerinage ce jour-là, comme les autres jours, à l'intention de Dozulé. Ne détournons pas l'Eucharistie à des fins partisanes, surtout le jour où les communautés chrétiennes, rassemblées dans la communion, font mémoire du Sacrement de l'Amour en solennisant le Jeudi Saint et le signe de l'unité.
Ce pseudo-message, dont l'extravagance et le caractère absolu ne méritent pas qu'on s'y arrête, est habilement commercialisé sous la forme de tracts, de supports médiatiques, d'appels divers relancés régulièrement et d'ouvrages de vulgarisation. Cette surabondance donne une impression de sérieux: elle est proprement illusoire et rallie les gogos. Elle réussit même à opposer les associations qui se prévalent de diffuser le véritable et
authentique message et ses multiples versions de référence.
Ne nous laissons pas abuser par cette surenchère commerciale et mensongère. Il faut raison garder, foi célébrer, charité développer, souci des petits et des humbles renouveler.
Puisse le fanatisme déchaîné, cultivé et habilement développé par une poignée d'exaltés, ne pas nous inquiéter. L'Eglise a arrêté la position à tenir et à communiquer. Tenons-la. Diffusons-la.

                     + Pierre PICAN

                    Evêque de Bayeux & Lisieux

                     Le 15 mars1991
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Fraternellement,     L'équipe internet Union de prière

Les actuels suiveurs de cette secte suivent les révélations d´une dame appelée Je ne suis rien J.N.S.R. Leur principal objectif est la construction d´une croix glorieuse lumineuse de couleur blanche et/ou bleu ciel d´une hauteur de 7,38 mètres (échelle 1/100 demandée à Dozulé), parce qu'ils croient que de cette manière ils sauveront le territoire de la destruction par le malin. Malheureusement, ils réussissent à tromper évêques et prêtres, en omettant de mentionner l´origine de leur "donation", quand ils requièrent le permis pour ériger la croix. De fait, si ces suiveurs requéraient le permis pour ériger la croix de Dozulé, l´évêque de la diocèse ne pourrait pas désobéir à la condamnation de l'évêque de Bayeux et Lisieux. Si quelqu´un voit l´une de ces croix, qu´il envoie à l´évêque une copie de la condamnation que je reproduis ci-dessus, et que j´ai reçue directement du diocèse de Bayeux.

Nota
Gli attuali seguaci di questa setta seguono le rivelazioni di una Signora chiamata Je ne suis rien J.N.S.R.. Hanno come obbiettivo principale la costruzione della croce gloriosa luminosa di colore bianco e/o celeste con un altezza di metri 7,38 (scala 1/100 richiesta a Dozulé)perchè credono di salvare il territorio dalle distruzioni del maligno. Riescono purtroppo ad ingannare Vescovi e Sacerdoti non menzionando l'origine del loro "dono" quando chiedono il permesso di erigere la croce. Infatti se questi seguaci chiedessero il permesso di erigere la croce di Dozulé, il Vescovo della diocesi non potrebbe disubbidire alla condanna del Vescovo di Bayeux et Lisieux. Se qualcuno vedesse una di queste croci, invii pure al parroco ed al Vescovo questa condanna che ho ricevuto direttamente dalla diocesi di Bayeux. Michele Cafaro

Commento di Avvenire - Lettera di Mons. Luigi Bressan dell’Arcidiocesi di Trento
OFICIAL REFERENTE A LOS "EVENTOS" DE DOZULÉ

Ordenanza del Señor Obispo de Bayeux
Desde hace varios años, algunos cristianos se reunen a Dozulé, en un lugar llamado "La Haute Butte", para celebrar la Cruz gloriosa de Jesucristo y para rezar por la redención del mundo. Tras haber constituido el 27 de abril de 1984 una comisión diocesana encargada de investigar los motivos de estas reuniones a Dozulé y emitir un juicio sobre los libros y los cassettes distribuidos en el mundo entero contando los "eventos" de Dozulé, Tras haber estudiado sus conclusiones que comunico a la Sede Apostólica, Teniendo como sola preocupación iluminar a los cristianos, ayudarlos a mantenerse fieles a la Iglesia y para "preservar la integridad de las verdades de fe y costumbres" (can. 823 § 1), promulgo la siguiente Ordenanza, Art. I - En virtud de los cánones 823 y 824 del Código de Derecho Canónico, repruebo formalmente la publicación de libros, folletos, oraciones, cassettes, que no lleven la aprobación de un Ordinario.
Art. II - No reconozco como "santuario", es decir como "lugar sagrado al que, por un motivo peculiar de piedad, acuden en peregrinación numerosos fieles, con aprobación del Ordinario del lugar" (can. 1230), el dominio de "La Haute Butte" de Dozulé.
Art. III - En consecuencia, prohibo toda propaganda y especialmente toda colecta de fondos para la construcción de un santuario o la edificación de una cruz gigantesca en ese lugar (can. 1265 § 1). También prohibo la construcción de cualquier santuario (iglesia, oratorio), calvario, sobre el territorio de la parroquia de Dozulé (can. 1215, 1223, 1224).
Art. IV - Resguardando los derechos del cura sobre el territorio de la parroquia de Dozulé, prohibo a cualquier sacerdote:
- Organizar o presidir cualquier reunión en relación con el "mensaje" de Dozulé.
- Celebrar la eucaristía en esas mismas circunstancias.
Todo sacerdote que, en forma obstinada, infrinja las intericciones contenidas en este artículo IV, se expone a ser privado en la Diócesis de Bayeux, de la jurisdicción necesaria para escuchar confesiones y, eventualmente, ser suspendido.
Algunos fieles serán desorientados por estas decisiones. Sufrirán y les será difícil aceptarlas. Los invito, junto a todos aquellos que lean esta Ordenanza, a recentrar cada vez más su piedad, el testimonio de su fe y su celo apostólico, en el misterio de la Cruz gloriosa de nuestro Salvador. La Iglesia nos invita a hacerlo, especialmente durante Semana Santa. En el mismo sentido, el Santo Padre nos pide a todos redescubrir los beneficios de los sacramentos de la Reconciliación y de la Eucaristía. En es ellos y por ellos que debemos buscar la fuente de nuestra conversión y la del mundo; es en ellos y por ellos, en la Iglesia, que debemos fortalecer nuestra esperanza en la espera del Regreso del Señor.
La presente Ordenanza será publicada cuando la Sede Apostólica habrá dado a conocer su opinión sobre los "eventos" de Dozulé, según la encuesta realizada por la Comisión Diocesana y que le le ha sido transmitida integralmente.

A Bayeux, el 24 de junio de 1985.

+ Jean Badré, Obispo de Bayeux y Lisieux.

Por mandato: E. Belin, Canciller del Obispado.

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DOZULÉ 1991: NADA NUEVO... "¡LA TRAMPA DE TONTOS!"

NO A LAS PRESSIONES - NO AL AMALGAMA - NO AL SEUDO-MENSAJE

Cantidad de cristianos de buena voluntad, con sentido común y buenas disposiciones, se preocupan, con razón, por las presiones ejercidas por los mensajeros de la causa de Dozulé. Escriben y piden aclaraciones. Ninguna persona tiene un mandato de difusión y no puede prevalecerse de haberlo recibido del Obispo de Bayeux y Lisieux. Monseñor Badre estableció un documento bajo la forma de una Ordenanza en 1985, prolongada por su Declaración del 8 de diciembre del mismo año. Les pido que se refieran conformen a ella. Esos documentos constituyen la respuesta de la Iglesia y establecen su posición. Los términos mantenidos en 1985 valen para 1991 y para los años que vengan. Esas presiones descolocadas, extravagantes y fanáticas denotan una actitud sectaria incompatible en absoluto con la que se deben valer los fieles de la Iglesia católica. Los partidarios de la tésis de Dozulé y sus difusores no están en comunión con la Iglesia.
Afin de instruir a los cristianos, pido a los fieles de la Iglesia católica no dejarse intoxicar por la propaganda sin fundamento sobre ese fenómeno. Además, el dominio de La Haute Butte no debe de ninguna manera ser considerado como un lugar santo aprobado por el Ordinario de esta diócesis. Mantengo las disposiciones de la Ordenanza del 24 de junio, establecida por Monseñor Jean BADRE, mi predecesor, así como los términos de su Declaración del 8 de diciembre de 1985.
Por lo cual prohibo a todo sacerdote organizar, acompañar y con mayor razón presidir cualquier reunión en relación con el seudo-mensaje de Dozulé, así como participar a reuniones en La Haute Butte. Prohibo también a todo sacerdote celebrar la Eucaristía en La Haute Butte, en particular el 28 de marzo de 1991, así como celebrar en el marco explícito de un peregrinaje ese día, como todos los otros días, a la intención de Dozulé. No desviémos la Eucaristía para fines partidarios, en particular el día en el cual las comunidades cristianas, reunidas en la comunión, hacen memoria del Sacramento del Amor al solemnisar el Jueves Santo y el signo de la unidad.
Ese seudo-mensaje, en cuya extravagancia y carácter absoluto no merecen que nos detengamos, está habilmente comercializado bajo la forma de folletos, soportes mediáticos, llamadas diversas relanzadas regularmente y obras de vulgarización. Esta surabundancia da una impresión de seriedad: en verdad es ilusoria y capta a los tontos. Hasta logra oponer entre sí a las asociaciones que se prevalen de difundir el verdadero y auténtico mensaje y sus múltiples versiones de referencia.
No nos dejemos abusar por esta escalada comercial y mentirosa. Debemos la razón guardar, la fe celebrar, la caridad desarrollar, la preocupación por los pequeños y humildes renovar.
Que el fanatismo desencadenado, cultivado y habilmente desarrollado por un puñado de exaltados, no nos inquiete. La Iglesia ha definido la posición a mantener y a comunicar. Mantengámosla. Difundámosla.

+ Pierre PICAN

Obispo de Bayeux & Lisieux

El 15 de marzo de 1991

Los actuales seguidores de esta secta siguen las revelaciones de una señora llamada Je ne suis rien J.N.S.R. (Yo no soy nada). Tienen como objetivo principal la construcción de la cruz gloriosa luminosa de color blanco y/o celeste de una altura de 7,38 metros (escala 1/100 pedida a Dozulé), porque creen que de este modo salvarán al territorio de la destrucción del maligno. Lamentablemente, logran engañar a obispos y sacerdotes al no mencionar el origen de su "donación" cuando piden el permiso para levantar la cruz. De hecho, si estos seguidores pidieran el permiso para erigir la cruz de Dozulé, el obispo de la diócesis no podría desobedecer a la condena del obispo de Bayeux y Lisieux. Si alguien viera alguna de estas cruces, que no dude en enviar al obispo copia de la condena que reproduzco aquí arriba, y que recibí directamente de la diócesis de Bayeux.

Here follow the declarations of the two latest bishops of Bayeux and Lisieux (free translation):
OFICIAL REGARDING THE DOZULE "EVENTS"

Ordonnance of the Bishop of Bayeux
For several years now, some Cristians assemble at Dozulé, in a place called "La Haute Butte", to celebrate Jesus Christ´s glorious Cross and pray for the world´s redemption.
After having created on April 27th, 1984, a Diocesan Commission to investigate the motives of these assemblies at Dozulé and to bear a judgement on the books and cassettes spread across the world, recounting the Dozulé "events",
After having studied those conclusions, which I comunicate to the Holy See, Having as sole concern the enlightening of Cristians, helping them to remain faithfull to the Church and to "safeguard the integrity of faith and morals" (can. 823 § 1), I promulgate the following Ordonnance,
Art. I - Under canons 823 and 824 of the Code of Canon Law, I formally reprobate the publication of books, brochures, prayers, cassettes, which do not have the aproval of an Ordinary.
Art. II - I do not recognize as "sanctuary", that is as a "sacred place which, with the approval of the local Ordinary, is by reason of special devotion frequented by the faithful as pilgrims" (can. 1230), the domain of "La Haute Butte" of Dozulé.
Art. III - As a consequence, I prohibit any propaganda and especially any funds raising in order to build a sanctuary or a gigantic cross on those premises (can. 1265 § 1). As well, I prohibit the construction of any sanctuary (church, chapel), Calvary, on the territory of the Dozulé parish (can. 1215, 1223, 1224).
Art. IV - Saving the parish priest´s rights on the territory of the Dozulé parish, I prohibit any priest to:
- Organise or preside over any meeting related to the Dozulé "message".
- Celebrate the Eucharist in the same circumstances.
Any priest who would stubbornly disobey the prohibitions contained in this article IV, exposes himself to be deprived in the Bayeux Diocese, of the necessary jurisdiction to listen to confessions and, eventually, to be suspended.
Some faithful will feel confused by these decisions. They will suffer and have difficulties to accept them. I invite them, as well as all those who read this Ordonnance, to refocus always more their piety, the witnessing of their faith and their apostolic zeal, on the mystery of the Saviour´s glorious Cross. The Church invites us to do it, especially during the Holy Week. To the same effect, the Holy Father has asked us to rediscover the benefits of the Reconciliation and Eucharist Sacraments. It is in them and by them, that we must seak the source of our conversion and of that of the world; it is in them and by them, in the Church, that we must strengthen our hope in the awaiting of our Lord´s Return.
The present Ordonnance will be published once the Apostolic See will have made known its opinion on the Dozulé "events", upon presentation of the Diocesan Commission´s investigation, which was integrally transmitted to it.

At Bayeux, June 24th, 1985

+ Jean Badré, Bishop of Bayeux and Lisieux

By mandate: E. Belin, Chancellor

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DOZULÉ 1991: NOTHING NEW... "THE GULL TRAP"

NO TO PRESSURES - NO TO AMALGAMS - NO TO THE PSEUDO-MESSAGE

A number of good will Christians, full of common sense and well disposed, are rightly worried about the pressure exerted by the messengers of the Dozulé cause. They write and ask for clarifications. Nobody has a diffusion mandate, nor can anyone prevail of having received one from the Bishop of Bayeux & Lisieux. Bishop BADRE has established a document in the form of an Ordonnance in 1985, followed by his December 8th, 1985, Declaration. I ask you to refer to it and comply with it. Those documents are the Church's answer and establish its position. The terms stated in 1985 are valid for 1991 and for the years to come. Those misplaced, extravagant and fanatic pressures develop a sectarian attitude absolutely incompatible with the one the Catholic faithful should lay claim to. The supporters for the Dozulé thesis and its diffusers are not in communion with the Church.
Concerned about enlightening Christians, I appeal to the Catholic Church's faithful not to let themselves be intoxicated by this phenomena´s unfunded propaganda. Moreover, the territory of La Haute Butte must not be considered in any way as a sacred place approved by this Diocese´s Ordinary. I maintain the June 24th Ordonnance´s dispositions, established by Bishop Jean BADRE, my predecessor, as well as the terms of his December 8th, 1985, Declaration.
Therefore, I prohibit any priest to organize, accompany and a fortiori preside any meeting related to this pseudo Dozulé message, as well as participate in assemblies at La Haute Butte. I also prohibit any priest to celebrate the Eucharist at La Haute Butte, particularly on March 28th, 1991, as well as to celebrate in the explicit frame of a pilgrimage on that day, as on any other day, to the intention of Dozulé.
Let us not divert the Eucharist for partisan means, especially on the day Christian communities, rassembled in the communion, remember the Sacrament of Love by solemnizing Maundy Thursday and the sign of unity.
That pseudo-message, of which its extravaganza and imperious character do not deserve our dwelling on it, is cleverly marketed in the form of flyers, media supports, various calls regularly relaunched and dissemination works. This surabundance gives the impression of seriousness: it is illusory and assembles gulls. It even achieves to oppose the associations against each other, which avail themselves to diffuse the real and authentic message and its multiple reference versions.
Let us not be abused by this commercial and false outbidding. Let us keep the reason, celebrate the faith, develop charity, renew our concern for the little and the humble. May the unleashed fanatism, cultivated and cleverly developped by a handful of exalted people, not worry us. The Church has fixed the position to hold and to communicate. Let us hold it. Let us make it known.

+ Pierre Pican

Bishop of Bayeux & Lisieux

March 15th, 1991

The actual followers of this cult believe in the revelations of a lady called Je ne suis rien J.N.S.R. (I am nothing). Their main objective is the construction of an illuminated glorious cross, white and/or sky-blue, 7.38 meters high (scale 1/100 as requested at Dozulé), because they believe that by this means they will save the territory from its destruction by the evil one. Unfortunately, they manage to delude bishops and priests, by omitting to mention the origine of their "donation", when they ask for permission to build the cross. In fact, if these followers asked for permission to build de Dozulé cross, the bishop of the Diocese would not disobey the condemnation made by the bishop of Bayeux and Lisieux. If someone sees one of these crosses, he should send the bishop a copy of the condemnation I have reproduced above, which I received directly from the Diocese of Bayeux.